France - Pierre sèche

Ici le sénior est Laurent Doyer, 56 ans, natif du nord de la France, et venu en Provence pour travailler dans les espaces verts, puis devant les besoins de restauration des nombreux murets de pierre sèche de la région, il s’est formé à cette technique en voie de disparition. Fort heureusement, depuis quelques années, par le biais notamment d’association comme la FFPS (Fédération Française de la Pierre Sèche), la pierre sèche retrouve sa place dans l’économie locale et quelques muraillers se forment pour répondre aux nombreux besoins. Nous avons travaillé en amont avec les jeunes pour les sensibiliser aux enquêtes et aux résultats attendus. Ils ont préparé les questions qu’ils voulaient poser. Ils ont choisi de participer à cette enquête de manière plutôt spontanée, sans répartition des tâches. Huit jeunes de 17 à 22 ans ont participé à cette enquête. Ils ont par ailleurs pu mettre en pratique ce qu’ils avaient appris sur une journée avec les conseils du sénior. La mise en œuvre de ce type d’atelier ne nécessite pas de gros moyens hormis la fourniture de pierres, mais qui se trouvent la plupart sur place lorsqu’il s’agit de reconstruire un muret effondré par exemple.

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